La mort de toute  chose entraine la naissance d'autre chose

La mort. Ouf, quel concept... right? 

Beaucoup d'entre nous en avons peur, l’appréhendons, comme étant la fin de tout. Malgré que je ne puisse garantir qu’après la mort de notre enveloppe corporel, il y ait quelque chose, je sais qu’après la mort (symbolique) de ce que nous vivons de notre vivant, quelque chose d’autre nous attend. 

Au moment où j’écris ces lignes, je viens de réaliser que mon chat à manger Mala, ma nouvelle plante, une Dracaena Himalayamix. 

Malgré que Margie ait fait le fruit d’une grosse opération de rempotage hier, et qu’en plus de ça elle s’est fait manger les feuilles quelques heures plus tard, je sais que Margie va s’en sortir. 

Certes, elle ne récupérera pas ce que evil Bébé Chat à manger, cependant, elle va être capable de "cautériser" la plaie et de faire grandir de nouvelles feuilles qui à force de temps remplaceront celles jalousement mangées (Bébé chat est très possessive, elle n’aime pas que je donne de l’attention à d’autres living beings, que ce soit des plantes ou des poissons). 

C’est ce qui est incroyable avec le monde dans lequel nous vivons, tout est remplaçable et tout se transforme. 

Malgré que nous, humains, aimerions que tout reste tel que c’est, pour je ne sais quel raison… le reste du monde, ou du moins les animaux, les plantes, etc. semblent avoir compris que tout à une fin et semble être okay avec le concept. 

La fin en elle-même, n’est pas la fin absolue. Juste la fin de ce passage, de cette époque, de ce moment avec cette personne. Ainsi, de nouveaux passages, nouvelles époques, nouvelles personnes remplaceront ce qui est obsolète, ce qui a pris fin. 

Le problème, c’est que pour nous, tout ce qui se termine meurt et est perdu à tout jamais. C’est comme si les moments vécus, les souvenirs, les apprentissages, etc. ne vivaient plus, n’avaient plus d’importance, car la personne, ou le moment qui les nourrissait, n’est plus là.

Pourtant, tant que nous vivrons, ces souvenirs nous habiterons, ces apprentissages nous suivrons, et ces vécus continuerons de nous apprendre. 

Comme pour Margie, ces feuilles continueront de pousser. Certes, celles mangées sont foutues, mais Margie ne peut pas abandonner pour 3 feuilles mangées, alors qu’il y en a encore des centaines qui rêvent de pousser et de se trémousser. 

Tant que l’on est en vie, nous avons la possibilité de vivre TELLEMENT de choses, alors ne nous arrêtons pas à ce que nous pensons avoir perdu, et concentrons-nous sur ce que nous avons à y gagner. 

En tant que Manifesteur-Générateur (MG) qui a Uranus et Neptune en conjonction en 5è maison en Capricorne, je suis quelqu’un qui adore travailler, mais surtout qui ADORE progresser. Les choses ont besoin d’avancer. J’aime monter les échelons et évoluer. 

J’ai toujours su qu'il me fallait un travail où il n’y a pas de limite d’échelons et où je pourrais toujours monter, et monter, et monter plus haut. 

Cela dit, j’ai Uranus, et nous savons qu’Uranus aime bousculer, shaker, voir même exploser ce qui a été mis scrupuleusement en place. Disons qu’en Capricorne, ça peut être un challenge et tu sais peut-être de quoi je parle, car nous sommes nombreux/ses à l’avoir en Capricorne. 

Uranus en 5è maison apporte un challenge supplémentaire, surtout à mon côté Capricorne, car Uranus viendra toujours impulser un changement expressif et créatif. Je risque de toujours avoir envie de créer quelque chose, puis une fois fait (Capricorne aime aller au bout des choses), je vais toujours vouloir suivre de nouveaux horizons (surtout que ma 5è maison débute en Sagittaire). 

Cet aspect Uranian en 5è maison est très connecté à mon côté Manifesteur-Générateur (avec des énergies de Manifesteur plus prononcée), car les MG sont reconnus pour être des personnes tout sauf linéaires (contrairement à leurs amis générateur qui le sont plus). 

Les MG sont un peu là pour montrer aux autres types d’énergies que c’est okay de commencer quelque chose et de ne pas le terminer. D’être multi passionné, d’être un peu partout à la fois, et de commencer par Z, puis F, puis B, puis P. 

Le problème, c’est que notre société valorise beaucoup les gens qui font un truc et qui s’y tiennent, qui sont experts dans leur domaine, qui sont stable, linéaire, constant, etc. Pas mal tout ce dont un MG est allergique. 

Un MG à beaucoup d’énergie de base, surtout pour ce qui l’inspire et le fait frétiller dans son ventre. 

Suivre une direction déjà toute tracée sans aventure, sans découverte, sans inconnu… boff. Évidemment, je généralise, il se peut fort bien que tu sois un MG qui n’aime pas l’aventure, comme il se peut que tu ne sois pas un MG et que tu te voies dans ce que j’énumère. 

Comment est-ce possible?

Car ça dépend de tes charts Astrologique et de Design Humain. Les deux sont à prendre en compte pour avoir une vision globale et plus succincte de ta personne. 

C’est pour ça que je vais te partager mon exemple personnel, et tu en feras ce que tu en veux à partir de là. 

Donc, je disais, mon Uranus, me donnera toujours envie de nouveau projet, en plus de la MG que je suis avec le canal de la Mutation, du Charisme et de l’Alpha. 

Beaucoup de choses démontrent dans mon Astrologie et Design Humain que je suis là pour être une leader (c’est pas moi qui le dit, ce sont mes charts, et littéralement dans ces mots-là), et pour partager mes connaissances sur la psychologie principalement. 

Ce qui arrive, c’est que, comme la bonne MG que je suis, beaucoup de choses m’intéressent et donc, du coup j’ai du mal à me lancer à 100% dans un truc, comme le reste du monde le souhaiterait. 

Lorsque quelque chose m’excite, je vais m’y plonger corps et âme pendant des jours, voire semaines, des 14-16h/jrs à en oublier de manger et d’aller aux toilettes. 

Ensuite, je vais vouloir transmettre ce que j’ai appris sur YouTube ou sous format de cours en ligne. 

Puis, éventuellement, je vais assez maîtriser le sujet que de nouvelles aventures vont me tenter. Donc, je vais me plonger corps et âme dans ce nouveau truc qui me passionne pendant des jours, voire semaines à en oublier de pisser, puis je vais l’enseigner jusqu’à le maîtriser suffisamment en profondeur. 

Ensuite, il n’est pas impossible que je revienne à mon premier amour, et l’approfondisse encore plus ou que j’aille encore découvrir de nouvelles contrées intellectuelles. 

Et c’est dur lorsque l’on a une entreprise, car ça paraît. Je vais lancer un truc, et dès que l’énergie est passée, je vais le fermer pour autre chose. Car je n’aime pas avoir 1000 truc en même temps qui roule, j’aime simplifier au max mes offres.

Et donc, les gens parfois peuvent nous trouver instables, pas constant, pas sécuritaire, car rempli d’incertitudes. 

En effet, avec moi tu sais quand je lance un truc, mais tu sais jamais quand il va disparaître ou prendre fin… et bien franchement…. moi non plus 😅 . Généralement, lorsque les gens le savent, c’est en même temps que moi je l’ai su, car je me laisse énormément guider par mes ressentis maintenant. 

Cela dit, j’ai réalisé qu’en réalité on s’en fout. 

L’important, c’est pas ce que les autres vont en penser. L’important c’est ce que tu crées, ce que tu fais, mais encore plus important ce que tu es. 

Et personnellement, je suis moi, purement moi, et bien avec moi. Je suis un être qui a beaucoup de choses à dire, à transmettre, et qui comprend beaucoup de choses d’une manière que d’autres ne perçoivent pas aussi facilement. 

Et je pense qu’il est de mon devoir de transmettre ce que je sais, ce que je vois, ce que j’observe, ce que j’analyse, mais surtout ce que je comprends de cette expérience humaine. Surtout, si ça peut aider d’autres personnes à être plus alignées avec elles-mêmes et vivre une vie qui leur correspond, au lieu d’une vie qui correspondra au confort des autres. 

D’ailleurs, le confort est une GRANDE partie à accepter de délaisser pour être soi authentiquement et vivre une vie selon qui on est. 

Qu’est-ce que je veux dire par accepter de le délaisser?

Accepter d’être inconfortable. La vie n’est pas une question de confort. 

Sortir du vagin de ta mère n’était sûrement pas confortable pour toi, ni pour elle. 

Tes premières dents? À voir les enfants pleurer à la mort, je pense qu’il est safe de dire que c’est inconfortable. 

Grandir? Je fais partie de ceux et celles qui ont grandi trop vite et donc, qui l’ont senti passé. Et laisse-moi te dire… c’est… INCONFORTABLE. 

Une tarentule qui mue… vu qu’elle peut en mourir si elle s’y prend mal… et à la voir gigoter pendant un moment pour sortir de son exosquelette… je pense qu’il est safe, encore une fois, de dire que c’est inconfortable. 

Premier gros achat… inconfortable.

Premier travail… inconfortable. 

Premier jour au travail...inconfortable. 

Premier oral à l’école...inconfortable. 

Bref, j’arrête-là avec les exemples, je présume que tu as compris le truc. 

Tout est inconfortable dans la vie, surtout les premières fois. Puis, ensuite on s’habitue et on devient de plus en plus confortable. 

Cela dit, on semble avoir oublié que c’est comme ça avec tout. On est okay avec les exemples que je t’ai donné, car nos parents ont passé par-là et le reste de la société. 

En ce qui concerne ce qui est nouveau ou que peu discute… c’est beaucoup moins rassurant, car tu n’as pas forcément d’exemple de personnes qui l’ont fait. 

Cela dit, ce n’est pas parce que tu n’as pas d’exemple de gens qui l’ont fait, que tu ne peux pas le faire. 

Tout s’expérimente dans la vie, tout s’apprend, et tout s’ajuste. Fais-toi confiance, tu vas y arriver, mais autorise-toi. 

Il n’y a rien qui ne soit pas solutionnable. Donc, même si tu te manques, tu sauras rectifier le tir, ne t’inquiète pas, tu l’as déjà fait plus d’une fois, j’en suis sûr. Oui, c’était stressant, ça faisait peur, mais tu es encore ici aujourd’hui. 

Autorise-toi à être la personne qui fait tout à l’envers, tout différemment et qui ne sait pas ce qu’elle fait. 

Car rappelle-toi, tout ce que nous faisons a une fin. Tout le monde focus sur le résultat, alors qu’en réalité, c’est l’aventure qui est importante.

Le résultat est la finalité dont tout le monde a peur justement. Alors que l’aventure est la VIE. C’est ce qui est vivant et en mouvement. 

Une fois arrivé à destination, qu'est-ce qu’il te reste à faire? 

Trouver une nouvelle destination, et repartir à l’aventure. 

Accepter que les choses ont une fin, c’est accepter de continuer de vivre et découvrir de nouvelles choses. 

Et tu n’as pas besoin de suivre un chemin précis ou un ordre précis pour te rendre. Car, c’est TA vie, TON aventure, TON expérience. 

Et bien franchement, personne ne sait réellement ce qu’il ou elle fait de toute façon.